L’OTR, technique d’équilibrage tissulaire et énergétique

Tirée de différentes disciplines…

Développée par Cyril BÉCHACQ (ostéothérapeute),  l’Ostéothérapie Tissulaire Réflexe (OTR) est une technique manuelle visant à redonner de la mobilité à un système qui est en restriction de mobilité.

Ayant été formé à nombreuses disciplines, Cyril a rassemblé en une méthode les parties de protocoles de celles-ci qui lui semblaient les plus efficaces pour permettre une libération rapide des muscles. Il a ainsi mixé des notions de Médecine Traditionnelle Chinoise, de Niromathé, de Knap, d’ostéopathie pour constituer l’OTR.

Enrichie également par des manœuvres de la thérapie dorsale DORN, la méthode BÉCHACQ est un outil efficace d’équilibrage tissulaire et énergétique des sphères articulaires et viscérales.

Bienfaits reflexologie

Vous avez des douleurs et/ou blocages ostéo-musculaires… si vous avez tout essayé sans succès, il est temps d’essayer l’OTR !

Séance de TNC (50 à 60 minutes) :

Tarifs 2023 (non soumis à TVA)

Les principes de l’OTR :

« Le mouvement, c’est la vie »…

Ainsi, on comprend aisément qu’une bonne mobilité d’un système est la preuve de son bon fonctionnement. Tout système est en lésion lorsque celui-ci est en restriction de mobilité.

L’Ostéothérapie Tissulaire Réflexe (OTR) cherche donc à redonner de la mobilité à un système en restriction de mouvements.

Les éléments du corps humain servant de support de travail sont :

  – la peau : c’est sur elle que sont réalisés les gestes de correction (toucher vibratoire) appliqués sur des points sous-cutanés à proximité de fibres musculaires.

  – les os : ils permettent en effet des tests de positionnement, de mobilité.

  – les muscles : l’OTR est en priorité concentrée sur le système musculaire. ils assurent les  mouvements et sont responsables des restrictions de mobilité (rétractions, spasmes musculaires). Il convient donc de lever les restrictions pour libérer la mobilité.

L’ostéothérapeute va donc appliquer des gestes correcteurs vibratoires (gestes coup de fouet ou rotatoires), de plus ou moins forte intensité, sur des points spécifiques (spasmes se trouvant sur les muscles (les Trigger points et points Knap).

Les vibrations engendrées entrainent une levée instantanée du spasme grâce à l’action d’autorégulation propre au SNCe l’arc réflexe.

Les muscles sont faits pour travailler dur…

…sur une courte période et pouvoir ensuite se détendre. L’alternance de contraction / relâchement des muscles assure la bonne santé des tissus.

Cette alternance complète le travail du cœur en aidant à la circulation du sang dans les capillaires fins contribuant ainsi à l’alimentation des fibres musculaires en nutriments et oxygène.

Or certaines situations mettent à mal cette réalité.

La fragilisation musculaire :

La fragilisation musculaire peut être due à différents facteurs :

-cause traumatique (accident, chute, entorse…)

-sollicitation excessive d’un muscle (mouvements répétitifs, mouvements de force extrême…)

-contraction constante de faible intensité de plusieurs groupes musculaires ; ce qu’on appelle une « contraction isométrique submaximale » (travail devant ordinateur, station allongée en lisant un livre au-dessus de sa tête, station immobile avec mauvaise posture…)

-immobilité prolongée imposée (plâtre, attelle…)

-intervention chirurgicale (section, étirement ou contusion de muscles)

-déséquilibres anatomiques et posturaux forçant le corps à compenser en permanence, entrainant une tension continue sur des groupes musculaires.

La fragilisation musculaire entraîne la formation de Trigger Points  c’est-à-dire « des points douleur » dans un muscle. 

Ces points lorsqu’ils sont actifs, contiennent un taux anormalement élevé de substances pro inflammatoires contractiles sources de douleur.

Ces substances influencent la contraction des sarcomères (plus petites entités musculaires) et les « nœuds de sarcomères » ainsi formés,  comprimant alors les capillaires, empêchent l’apport de sang et donc de nutriments et oxygènes aux cellules musculaires.

Les mitochondries sont alors incapables de produire et de libérer de l’ATP (adénosine triphosphate) , énergie pourtant nécessaire aux sarcomères pour se détendre (via le détachement des têtes de myosine aux filaments d’actine). L’absence d’ATP laisse les sarcomères dans un état contracté et raccourci.